À voir si vous êtes de passage cet été en Bourgogne, cette exposition confronte, jusqu'au 8 août, les œuvres de Frédéric Diart (né en 1966) et Édouard Prulhière (né en 1965) dans l'espace singulier d'une maison de village inhabitée.
Pour l'occasion, un catalogue a été édité, avec un texte de Patrice Ferrari (Président d'Esox Lucius) et un essai dont je suis l'auteur.
32 pages, format 24 x 16 cm, illustrations en couleurs, 8 €. Il est disponible auprès de
Esox Lucius, Les Sertines, 71110 Ligny-en-Brionnais (+3 € de frais de port). 03 85 25 86 56. asox@free.fr.
"Quando stanno morendo, Pater paintings III : deux titres pour une même exposition réunissant deux artistes d'une même génération, Frédéric Diart et Édouard Prulhière. D'emblée, cette particularité donne une indication du mode selon lequel leurs œuvres respectives cohabitent dans les différents espaces de la maison qu'elles investissent pour un temps. "Cohabitation" semble bien le terme adéquat: non que les artistes aient refusé de se confronter à l'autre, d'instaurer un échange entre leurs œuvres. Au contraire, celles-ci s'approchent ou se rencontrent en divers endroits de la maison — séjour du rez-de-chaussée, palier à l'étage, chambre la plus vaste, cabinet de toilette. Mais le dialogue opère davantage par petites touches répétées, points de contact, tangentes de trajectoires individuelles bien spécifiques."
(Extrait de mon essai, "Tangentes")
Édouard Prulhière, Frédéric Diart
Frédéric Diart
Édouard Prulhière
Premier plan: Frédéric Diart; au fond: Édouard Prulhière (détail)
Frédéric Diart, Édouard Prulhière
Frédéric Diart
Édouard Prulhière
Premier plan: Frédéric Diart; au fond: Édouard Prulhière (détail)
Frédéric Diart, Édouard Prulhière
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